En produisant ses puces ARM dans les usines d'Intel, NVIDIA pourrait prendre un avantage décisif, mais le premier intéressé ne l'entend pas de cette oreille.
Si l'on en croit XbitLabs que reprennent nos confrères de Tom's Hardware, NVIDIA chercherait actuellement à pousserIntel à graver des puces ARM dans ses usines. Ce serait en tout cas le souhait du PDG de NVIDIA qui y voit une opportunité intéressante d'améliorer le process de gravure des puces ARM alors que des fondeurs comme TSMC ou GlobalFoundries ne maîtrisent pas encore parfaitement les process de gravure sur le 28 nm, tandis qu'Intel s'apprête à lancer ses processeurs tri-gate gravés en 22 nm.
Gravées en 22 nm, les puces ARM pourraient en effet être plus rapides, consommer moins d'énergie et dégager moins de chaleur... mais aussi faire davantage concurrence aux processeurs x86 d'Intel. Toutefois, on sait qu'Intel a déjà produit des puces ARM pour son propre compte dans ses usines par le passé. Cependant, Intel répond par la négative à ces rumeurs, expliquant qu'il compte bien garder son avance en la matière et exploiter son savoir-faire sur le 22 nm pour imposer ses propres produits, ce qui est logique. Surtout qu'Intel pousse ses nouveaux processeurs Medfield, destinés aux marchés de la mobilité et concurrents des SoC ARM.
NVIDIA ne peut donc a priori pas compter sur Intel pour l'aider à passer devant Qualcomm et ses SnapDragon S4 qui sont gravés en 28 nm. Il s'agit d'ailleurs des puces ARM à profiter de la gravure la plus fine, puisque les Tegra 3 (NVIDIA) et Omap 4 (Texas Instruments) sont gravés en 40 nm par TSMC, tandis que les Exynos (Samsung) et les A5 (Apple) sont gravés en 45 nm par Samsung.
Si l'on en croit XbitLabs que reprennent nos confrères de Tom's Hardware, NVIDIA chercherait actuellement à pousser
Gravées en 22 nm, les puces ARM pourraient en effet être plus rapides, consommer moins d'énergie et dégager moins de chaleur... mais aussi faire davantage concurrence aux processeurs x86 d'Intel. Toutefois, on sait qu'Intel a déjà produit des puces ARM pour son propre compte dans ses usines par le passé. Cependant, Intel répond par la négative à ces rumeurs, expliquant qu'il compte bien garder son avance en la matière et exploiter son savoir-faire sur le 22 nm pour imposer ses propres produits, ce qui est logique. Surtout qu'Intel pousse ses nouveaux processeurs Medfield, destinés aux marchés de la mobilité et concurrents des SoC ARM.
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