HP lance ses nouvelles gammes de PC portables

Sans annonce officielle, HP rajoute quelques références d'ordinateurs portables sur son site de vente US. Nous pouvons notamment y voir quelques processeurs Intel Ivy Bridge, des cartes graphiques NVIDIA.

Test : le nouvel iPad de troisième génération

Alors que plus personne ne croyait au segment des tablettes, Steve Jobs a mis un coup de pied dans la fourmilière en dévoilant l'iPad au mois de janvier 2010. Commercialisé le 3 avril de la même année...

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lundi 14 décembre 2015

OUIHOP’ : PRÉSENTATION DE L’APPLICATION D’AUTO-STOP CONNECTÉE

Le covoiturage a le vent en poupe ces derniers mois. C’est dans cet esprit que l’application OuiHop’ a fait ses débuts sur l’App Store et le Google Play Store. Présentation.
Le covoiturage n’a pas que des avantages. Il permet, certes, de faire de substantielles économies sur votre consommation d’essence mais il n’est pas sans contrainte. Il faut déjà trouver une ou plusieurs personnes avec qui le faire mais également s’accorder sur les horaires et les trajets pour que chacun y trouve. OuiHop’ s’inscrit dans cette lignée de partage de l’auto mais remet au goût du jour une pratique qui se fait de plus en plus rare : l’autostop.

OuiHop’ : Kezaco ?

Il s’agit d’une application gratuite qui vous permet de consulter autour de vous les véhicules qui sont disponibles pour prendre un passage ou dans le cas inverse, les piétons à la recherche d’un véhicule sur quelques kilomètres. Il s’agit ni plus ni moins d’auto-stop connecté qui présente de nombreux avantages pour les deux protagonistes.

Comment est née l’application ?

OuiHop’ est une start-up parisienne fondée par Laurent Maghdission, Jean-Baptiste Boneu et Franck Rougeau. Ils sont partis d’un double constat : l’augmentation croissante des bouchons en Ile-de-France et dans les grandes améliorations françaises (+26% entre 2011 et 2013) et, malgré une offre relativement riche, des transports en commun qui ne couvre pas toujours toutes les zones ou les itinéraires des usages. Les trois fondateurs veulent surfer sur une dynamique des systèmes collaboratifs qui se sont ancrés dans la société ces dernières en réduisant les contraintes (pas d’engagement) pour les conducteurs tout en augmentant les bénéfices. Le lancement grand public a été précédé d’une longue phase de bêta sur le plateau de Saclay auprès de 600 bêta testeurs qui n’étaient autres que des salariés de la zone.L’objectif était de valider l’intérêt pour le prochain et d’optimiser l’application et les services.

Comment ça marche ?

Il existe deux scénarios pour les utilisateurs. Il y a d’abord l’automobiliste qui lance l’application et entre son trajet quand il monte dans sa voiture. En face, le piéton lance lui aussi son application, découvre les utilisateurs à proximité et leur itinéraire et sélectionne celui qui lui convient le mieux. L’automobiliste reçoit une notification. Libre à lui d’accepter ou non de prendre le piéton. L’application a le mérite d’être très fluide, visuellement très réussie et ne pas proposer cinquante menus dans lesquels nous pourrions nous perdre facilement. Elle va à l’essentiel.

Où télécharger l’application ?

OuiHop’ est disponible gratuitement sur l’App Store (pour iPhone donc) et sur le Google Play Store (Android). Difficile de dire en l’état si une version Windows 10 Mobile verra le jour prochainement. Cela dépendra sans doute du nombre d’utilisateurs dans les prochains. Les fondateurs espèrent convaincre 100.000 personnes d’ici la fin de l’année 2016.

Combien coûte l’abonnement ?

Le piéton qui utilise OuiHop’ paye un abonnement mensuel d’une valeur de deux euros par mois. Soit l’équivalent d’un ticket de bus. L’automobiliste ne paye rien.

Qu’est ce que gagne le conducteur ?

Le conducteur qui utilise l’application en publiant son trajet accumule des points, baptisés Hopiz, qui lui permet d’obtenir des bons de réduction ou d’achat chez les enseignes partenaires de OuiHop’ (BP, Speedy, Amaguiz, etc.). Il peut également opter pour un abonnement gratuit ou acheter (virtuellement) un ou des billets de loterie. Une loterie là aussi très attractive puisque les tirages peuvent vous permettre de gagner six mois de carburant gratuit ou 10 pleins. Le plus beau c’est que même si vous n’accueillez pas d’auto-stoppeur mais vous publiez votre trajet sur l’application, vous cumulez des kilomètres et donc des points.

Existe-t-il une limite kilométrique pour l’automobiliste ?

Oui. L’application place la limite de kilomètres à 150 par jour.

L’autostoppeur paye-t-il l’automobiliste ?


Non. Il n’y a aucune transaction monétaire entre les deux acteurs du trajet. Simplement, le piéton note l’automobiliste à la fin de son trajet en lui attribuant une à cinq étoiles.

Rétrospective 2015 : YouTube n’a pas changé que son modèle économique


Développement de contenus originaux, nouveaux outils publicitaires, évolution du modèle économique… Que retenir du business de YouTube en 2015 ?
Le premier tube du chanteur hip-hop Silentó (« Watch Me »), la publicité pour « Clash of Clans : Revenge » diffusée lors du Super Bowl, la campagne « Love Has No Labels » contre la discrimination, Barack Obama qui décortique une série de tweets à son adresse, un concours de lip-sync sur le plateau du Tonight Show : cette année encore, le top 10 des vidéos les plus visionnées sur YouTube a une forte consonance américaine.
Il faut dire que les États-Unis restent une source d’audience majeure pour la plate-forme propriété de Google. C’est d’ailleurs sur ce marché que sont généralement lancées les nouvelles expérimentations et fonctionnalités.
Illustration avec YouTube Kids, présenté comme un « espace de confiance » avec des programmes éducatifs, des émissions cultes outre-Atlantique comme Sesame Street ou encore un système de filtrage qui élimine certains mots « sensibles ».
Une offre dénoncée par des associations américaines de protection de l’enfance, qui jugent que des vidéos publicitaires y sont diffusées sans être clairement identifiées comme telles.

Sécurité et responsabilité

YouTube a eu bien d’autres problèmes à régler en 2015. Ainsi ses équipes ont-elles, au printemps, corrigé en urgence une faille de sécurité qui aurait pu permettre d’effacer n’importe quelle vidéo en composant une requête précise sur une adresse Web donnée.
Dès la mi-janvier, les pouvoirs publics en France avaient mis la pression après le double attentat de Charlie Hebdo et de l’épicerie kasher porte de Vincennes. Une collaboration avait été mise en place avec les plates-formes de diffusion de vidéos sur Internet pour filtrer les contenus les plus violents ou faisant l’apologie du terrorisme.
Le début d’année avait également marqué le passage à HTML5 par défaut sur les principaux navigateurs Web, en remplacement d’Adobe Flash.
Quelques semaines plus tard, YouTube lançait une expérimentation autour d’une technologie permettant de visionner des vidéos sous plusieurs angles et de basculer, en temps réel, entre ces différents points de vue. Intervenaient ensuite la diffusion en Ultra HD (3 840 x 2 160 pixels) via le codec VP9, puis la retransmission de vidéos en direct à 60 images par seconde.

Et YouTube devint payant…

La plate-forme n’a pas seulement évolué d’un point de vue technique. Elle a aussi changé de modèle économique : exit le seul financement par la publicité.
Les premières allusions à une offre payante remontaient à l’automne 2014. Un an plus tard, le masque est tombé : le 28 octobre 2015, YouTube Red était lancé.
Pour 9,99 dollars par mois, la publicité est supprimée et les abonnés bénéficient de contenus exclusifs. En l’occurrence, des films, des séries, ainsi que des vidéos produites par les YouTubers influents. L’offre gratuite financée par la pub reste d’actualité.
Pour affiner sa proposition de valeur, Google a multiplié les acquisitions de droits de diffusion, tout en accordant des primes à ses « ambassadeurs » pour qu’ils n’aillent pas voir ailleurs si l’herbe est plus verte. La multinationale se serait même rapprochée directement des studios de Hollywood.
Après un mois et demi, aucune indication officielle sur l’audience de YouTube Red. Tout au plus peut-on constater que le service est entré dans le top 10 des applications « les plus rentables » sur l’App Store d’iOS.
Pour alimenter sa stratégie contenus, YouTube met aussi en place des studios de création, comme celui inauguré fin septembre à Paris, dans ses locaux de la rue de Londres (9earrondissement).
Google vise aussi certains publics particulièrement réceptifs au streaming vidéo. Témoin l’ouverture, fin août, de la plate-forme YouTube Gaming, concurrente de Twitch (groupe Amazon).
Une autre bataille se joue en parallèle : celle de l’expérience utilisateur. La confrontation avec Dailymotion n’est pas passée inaperçue lorsque, cet été, les deux sociétés ont, à moins de 24 heures d’intervalle, annoncé la disponibilité générale d’une nouvelle version de leurs lecteurs respectifs.

L’ombre de Facebook

YouTube ne peut pas non plus ignorer la montée en puissance de Facebook, sur plusieurs points. Le réseau social a non seulement monté sa propre plate-forme d’hébergement et de streaming de vidéos, mais il y a surtout placé de la publicité.
En capitalisant sur une grosse base d’utilisateurs actifs (1,5 milliard), sur des services annexes à forte audience (Instagram, WhatsApp…), ainsi que sur diverses technologies de ciblage et de « call-to-action », Facebook fait de plus en plus d’ombre à YouTube sur l’exploitation du format vidéo : le revenu moyen par utilisateur atteindre 73 cents, contre 28 cents pour la filiale de Google (Ampere Analysis, juin 2015).
Plus globalement, le business de YouTube serait tout juste à l’équilibre, voire légèrement déficitaire, l’engagement des grandes marques ne compensant pas les coûts de fonctionnement.
Sur le volet publicitaire, on recensera cette initiative prise au mois de septembre avec Shopping Ads.
Cette offre doit permettre aux marques et distributeurs de contextualiser leur communication en affichant des liens commerciaux sur des vidéos dans lesquelles apparaît un de leurs produits – typiquement des tests ou des tutoriels. Un format qui exploite les « cartes » vouées à remplacer les annotations pour permettre de superposer des informations sur les vidéos.
Source : http://www.itespresso.fr/retrospective-2015-youtube-change-modele-economique-

Le best of Android 2015, par Google

Qui dit fin d’année, dit évidemment profusion de bêtisiers et autres best of à la télévision, et le monde de la mobilité n’est pas épargné, avec non pas un bêtisier, mais bien un best of des applications Android de l’année 2015, établi par Google himself. Des applications innovantes, ludiques, pratiques, sociales…. réparties en 8 thématiques pour être certain d’installer LA bonne application sur son smartphone flambant neuf (ou non). Bien sûr, le classement est établi en fonction du pays dans lequel l’utilisateur est basé.

Ainsi, selon Google, les applications les plus populaires en France, celles qui raflent le titre tant convoité « d’appli de l’année », sont notamment La Matinale du Monde, Deezer Music, Twitch, Skype, Le Parisien, mais également Topito, We Heart It ou encore TrueCaller ID. Du côté du « Made in France », l’application Se Coucher Moins Bête est également dans le top 5, aux côtés du Figaro.fr. Côté communication, c’est évidemment Skype qui se place en tête, tandis que Candy Camera se place en leader dans la catégorie Photo, devant… Google Photos. Todoist, Word ou encore Home Design 3D figurent parmi les indispensables de la catégorie Productivité, tandis que Twitch, particulièrement apprécié des joueurs, se classe en tête de la catégorie Divertissement.
A noter que Google a également inclus une catégorie Tablettes, avec la mise à l’honneur de la musique, de la cuisine et de la retouche photo, avec djay DJ Mix, Marmiton Tablette et Adobe Photoshop parmi les applications les plus appréciées par les utilisateurs. Le best of 2015 des applications Android est à retrouver directement à cette adresse.

Le Samsung Galaxy S7 bénéficierait d’une nouvelle technologie encore jamais vue chez la marque

Le Samsung Galaxy S7 sera le prochain flagship de la marque coréenne et nous allons découvrir tout de suite pourquoi.
Selon nos sources qui proviennent du Wall Street Journal, le design du Samsung Galaxy S7 ne sera pas très différent de son petit frère, le Samsung Galaxy S6. Il en va de même pour ce qui se passe sous la coque, aucune différence majeure n’est à constater. En revanche, le Samsung Galaxy S7 va se démarquer par le fait que ses composants seront de meilleures qualités, mais surtout, le smartphone va intégrer une technologie proche du Force Touch d’Apple. Cette technologie permet d’accéder à plusieurs contenus/menus selon la pression exercée par le doigt sur l’écran. Les iPhone 6S, eux, en sont dotés. Le Samsung Galaxy S7 bénéficierait également de la charge rapide et de la reconnaissance par la rétine.

La raison

Si la marque coréenne décide d’équiper son futur Samsung Galaxy S7, avec la même technologie qu’utilise Apple, c’est surement pour contrer récents échecs qu’a pu rencontrer Samsung, notamment avec son dernier smartphone haut de gamme qu’est le Galaxy S5 (même s’il se classe dans le top 5 des smartphones préférés des français). Ce sont des pertes historiques qu’a connu la division électronique de Samsung. La firme remonte néanmoins la pente petit à petit en réalisant par exemple un bénéfice net de 4,8 milliards de dollars, en hausse de 29,4% sur un an. Ces informations sont pour le moment à prendre avec des pincettes car rien n’a été officialisé mais nous vous tenons informé dès que nous apprendrons d’avantage !

STMicroelectronics adopte la technologie LoRa de Semtech

STMicroelectronics annonce la signature d’un accord concernant la technologie de communications RF sans fil longue portée LoRa de l’Américain Semtech, un fournisseur de semiconducteurs analogiques et à signal mixte. ST entend utiliser cette technologie pourproposer une gamme complète de solutions intégrant des SoC LoRa en vue d’accélérer les déploiements pour l’Internet des objets de réseaux locaux étendus basse consommation (LPWAN) par les opérateurs de réseaux mobiles.


ST va rejoindre l’alliance LoRa et fournira des « designs de référence » basés sur sa famille de microcontrôleurs STM32. ST prévoit de développer des microcontrôleurs embarquant la technologie LoRa et selon le protocole standardisé LoRaWAN. Semtech et ST collaboreront à l’intégration de la technologie LoRa dans plusieurs plateformes visant un large éventail d’applications destinées à plusieurs initiatives industrielles autour de LoRa.
L’arrivée de ST doit contribuer à standardiser  les technologies LoRa et LoRaWAN pour les réseaux locaux étendus basse consommation (LPWAN) connectés à l’Internet des objets à travers le monde. Semtech et ST ont la conviction que cette standardisation et un écosystème solide favoriseront l’adoption de cette technologie à grande échelle en vue d’atteindre les volumes importants prévus dans le domaine de l’Internet des objets.
« Les déploiements de réseaux nationaux LoRaWAN annoncés par les opérateurs de réseaux mobiles et l’Alliance LoRa rencontrent un vif succès et s’accélèrent », a déclaré Marc Pegulu, Vice President et General Manager de Semtech Wireless, Sensing and Timing product group. « L’arrivée d’un fournisseur majeur de circuits intégrés pour la technologie LoRa comme ST, très présent sur les marchés industriels et de la connectivité, confirme que la technologie RF LoRa de Semtech, le protocole LoRaWAN, la propriété intellectuelle et les chipsets associés deviennent progressivement le standard de facto pour les réseaux WAN de l’Internet des objets à basse consommation. »

« L’association de notre large famille de microcontrôleurs STM32 et de la technologie LoRa par le biais de notre partenariat avec Semtech contribuera à renforcer notre offre à destination de l’Internet des objets, des villes intelligentes et du marché industriel, trois domaines où notre portefeuille de contrôleurs et de capteurs, nos circuits analogiques, solutions de connectivité, de securité et de puissance font de ST un formidable partenaire », a déclaré Claude Dardanne, Executive Vice-President et Directeur général du groupe Microcontrôleurs, Mémoires et microcontrôleurs sécurisés de STMicroelectronics.
Schneider Electric retient aussi LoRa
La technologie LoRa a le vent en poupe. Rappelons que les réseaux IoT d’Orange et de Bouygues Telecoms feront appel à la technologie LoRa. L’opérateur m2ocity, créé en 2011 par Veolia et Orange, rejoint également la LoRa Alliance, l’association des acteurs promouvant le protocole LoRa comme standard de communication pour les objets connectés (voir article dans cette édition). Quant au groupe français de matériels électriques Schneider Electric, Semtech nous apprend qu’il a retenu la technologie LoRa pour des applications dans la gestion des compteurs, la gestion des bâtiments, la surveillance des réseaux électriques, la maintenance prédictive et la commande des systèmes de chauffage et de climatisation. Schneider Electric est membre actif de la LoRa Alliance pour standardiser le protocole LoRaWAN.

Source : http://www.vipress.net/stmicroelectronics-adopte-technologie-lora-de-semtech/